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Compétence continue – CEU vs Réflexion

Compétence continue

Afin d'acquérir une licence professionnelle, une personne doit poursuivre ses études et fournir au Collège ou à l'association une preuve de compétence continue. Dans nos plus récents articles sur les différentes parties du maintien de la compétence (auto-évaluation, jurisprudence, etc.), les ordres demandent à leurs membres de nombreuses façons de démontrer qu’ils cherchent à s’améliorer tout au long de leur carrière professionnelle. Le maintien de la compétence est suivi de deux manières : réfléchissant chemin ou à travers unités de formation continue (CEU).

Modèle réfléchissant

Réfléchissant est qualitatif, l’Ordre doit donc lire et examiner le contenu fourni par le membre pour s’assurer qu’il est compétent. Par exemple, l'Ordre exigera que les membres fournissent des réponses écrites aux questions sur les cours qu'ils ont suivis, des résumés de leurs objectifs et de leurs auto-évaluations, des évaluations par les pairs et toute autre exigence unique des différents organismes de réglementation.

À l’aide du modèle réflexif, un membre identifiera les objectifs spécifiques qu’il s’est fixés par rapport à sa pratique. L’utilisation de l’outil d’auto-évaluation ou de l’examen de jurisprudence est un excellent moyen pour les personnes inscrites d’identifier elles-mêmes les domaines les plus faibles de leur pratique. Ils peuvent également trouver des domaines dans lesquels ils souhaitent s'améliorer en obtenant les commentaires de leurs patients ou en déterminant simplement d'autres orientations dans lesquelles ils souhaitent que leur carrière aille.

Une fois que le membre a identifié un objectif qu'il souhaite se fixer, il devrait idéalement pouvoir publier sa description dans son profil en ligne dans le logiciel de gestion d'association des organismes de réglementation qu'il utilise.

Une fois l'année d'inscription terminée (ou l'année de DPC, si elles sont compensées), le inscrit revient au système pour refléter sur les objectifs qu'ils se sont fixés. En réfléchissant, ils déterminent s'ils ont atteint leurs objectifs, comment ils les ont atteints et quel impact cela a eu sur leur pratique (le cas échéant). Si leur objectif n’a pas été atteint, ils peuvent réfléchir aux raisons de ce non-respect et à ce qu’ils envisagent de faire pour y remédier.

Comme étape finale, le candidat se réévalue et fixe de nouveaux objectifs pour l'année à venir.

Comment évaluer équitablement

La question est maintenant de savoir comment évaluer équitablement les compétences à l’aide du modèle réflexif ?

Cela commence par déterminer comment les candidats sont invités à enregistrer leurs objectifs de compétence. Un excellent exemple de programme de compétence continue utilisant le modèle réflexif peut être trouvé sur le Site du CLPNA en cliquant ici. Dans leur SAT, ils demandent aux membres d'écrire sur leurs forces et leurs domaines de développement professionnel dans diverses catégories (responsabilité, connaissances, service, pratique éthique, etc.). Une fois que le membre a effectué le SAT, il rédige ses nouveaux objectifs (qui font partie du CCP).

L'administrateur du Collège évalue les objectifs en s'assurant que le membre dispose d'informations écrites pertinentes pour sa carrière. Ils s'assurent que l'objectif est raisonnable, applicable, pertinent, explique comment l'objectif peut être atteint et si le membre sait à quel point il est actuellement proche de l'objectif en évaluant les forces et les faiblesses du SAT. Si les objectifs expriment que le membre veut apprendre quelque chose, il devrait Si vous savez déjà, par exemple, qu'une infirmière déclare qu'elle « aimerait apprendre à faire des intraveineuses cette année », alors ce serait inacceptable.

Les objectifs ne sont généralement pas révisés sauf dans le cadre d'un audit, mais l'objectif n'est pas modifiable l'année suivante, donc si le membre a écrit quelque chose de non pertinent ou d'inatteignable, il ne réussira pas l'audit.

Unités de formation continue

Le CEU est quantitatif, ce qui signifie que les membres ont un cycle CEU, où ils doivent suivre un certain nombre de cours pour récolter un certain nombre de crédits sur la durée du cycle (par exemple, 45 crédits tous les 3 ans). Différents cours et examens valent différents montants de crédits, et certains d'entre eux sont obligatoires (comme l'examen de jurisprudence), ces crédits ne sont donc pas difficiles à acquérir. Certains collèges permettent à leurs membres de rechercher leurs propres cours et de soumettre leurs rapports d'achèvement au Collège pour recevoir des CEU. Toutefois, les cours doivent être approuvés ou jugés « pertinents » par le Collège afin d'être admissibles aux CEU.

Avec autant de cours disponibles, comment vos membres choisissent-ils ceux qui conviennent à eux-mêmes et à leur pratique ? Certains collèges, pour aider leurs membres à éviter de perdre du temps dans un cours non pertinent, leur fourniront une liste des meilleurs cours parmi lesquels ils peuvent choisir pour obtenir des CEU.

Le nombre d'UFC requis dans chaque profession diffère d'une province à l'autre. Comment décidez-vous si un membre hors province a terminé des cours pertinents pour votre province ? C'est ici que vous devrez peut-être les tester, leur demander de rédiger un essai de recherche sur le sujet, ou même leur demander de refaire l'examen depuis votre province. Dans de nombreux cas, un organisme de réglementation aura un programme de transition disponible pour les personnes hors province ou hors province. des pays membres.

Logiciel de gestion d'association basé sur le cloud

Quelle que soit la méthode, réflexive ou CEU, un logiciel de gestion d'association basé sur le cloud faciliterait le suivi du maintien de la compétence en tant que membre, collège ou association. Une solution basée sur le cloud est avantageuse car les membres pourront soumettre leurs formulaires de compétences ou même vérifier leur statut de compétence depuis n'importe quel appareil, n'importe où et à tout moment. Les données de maintien des compétences seraient également stockées en toute sécurité dans le cloud, où elles sont plus sûres qu'un serveur LAN moins moderne.

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